Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pensées de blonde

11 septembre 2009

Les créateurs se marrent bien à nous voir enfiler leurs conneries!!

Aujourd'hui parlons chiffons! Une exploration avancée des magazines féminins peut plonger quiconque dans une stupeur effarée...
Quels sont les délires vestimentaires de cet automne/hiver?
sarouel

1- Le sarouel en jean. Qui me fait furieusement penser a "on m'a volé mes fringues au vestiaire pendant que je prenais ma douche, du coup j'ai mis le blouson de Chabal en guise de pantalon"





bootes_cuissardes_sergio_rossi_prestigium_normale


2-Les cuissardes à talons. Pour des raisons évidentes. A moins de déménager a Pigalle.(par contre la version plate me comble d'aise)




jegging

3- Après le legging, le tregging, le......JEGGING. Legging en jean donc. Super bonne idée car tres confortable, mauvaise car toutes les Loana en herbe porteront ça avec un Tshirt bien court et non une tunique comme le suggère l'évidence de ne pas montrer aux yeux de tous que notre tour de cuisse fait 10 fois celui de nos chevilles. Ça me rappelle le look de Brenda dans Beverly Hills, tiens.






vesteleopard


4-Le léopard en veste/manteaux. Entendons nous bien, j'adore voir ça, sur un podium, sur Kate Moss qui fait son shopping. Maintenant se balader avec ça dans le métro....on va s'en passer!! (la veste ici présente est d'ailleurs dans mon placard, j'ignore si j'aurais un jour l'occasion de la sortir)




arton303

5-La veste militaire, que j'adÔÔÔre. Je raffole de cette dégaine de petit sodat!






collants

6-Le collant en dentelle. Mal choisit, mal porté, il évoque les catalogues 3 suisses section lingerie cheloue. (oui chelou est un adjectif qui s'accorde au feminin)






sandro_veste_163x163_1

7- La veste oversize. C'est la que je me ravie d'être grande, parce que sur une petite ça donne très vite "j'ai piqué la veste de mon pôpa".








veste_dofficier_balmain

8-Le retour des EPAULETTTES!!! Comme si  il n'y avait pas eu assez d'hommages a Michaël Jackson!!!
(oui sur la photo c'est joli....mais sur le commun des mortels non anorexiques, ça fait dark vador....qui veut avoir une carrure plus importante que celle de son mec hein? qui?)







images

9-La minijupe en cuir. Même si porté par un mannequin, avec un grand pull c'est beau, me vois mal démanbuler là dedans.





pantalon

10-le pantalon 7/8. Sur une petite , il rétrécit les jambes. Sur une grande, il donne l'impression d'avoir chouré le pantalon de la petite cousine de 10 ans. Un pur casse tête ce machin. (Et y'a encore des épaulettes là dessus, c'est encore et toujours Balmain!)

Publicité
Publicité
22 août 2009

Si j'étais un homme...

Je mettrais des chemises à rayures sans ressembler à une secrétaire des années 80.
Je piquerais son déo à ma sœur, qui met du Mennen pour nous les Zhommes.
Je pourrais raconter mes blagues monstrueuses sans que l'on me jette un regard consterné par l'opposition blonde aux yeux bleus/blague de camionneur d'ancienne RDA.
Personne ne m'emmerderait avec mon mètre 83, personne ne me demanderait combien je mesure, personne ne me dirait "Ah mais t'as encore grandi depuis la dernière fois que je t'ai vu".
Je méconnaitrais l'existence de l'epilateur, de la cire, et autres objets de tortures médiévaux, entretiendrais une foret moutonesque sur mes mollets, et dirais à chaque donzelle "mais non, s'épiler ça ne fait pas mal, chochotte" sans jamais avoir essayé.
Je boirais de la bière au goulot sans que ça fasse pétasse.
J'aurais une barbe de trois jours comme George Clooney, et ce ne serait pas à moi de supporter si ça pique.
Je ne me ferais plus suivre dans le métro par des êtres chelous.
Je n'aurais pas de cellulite.
Je porterais des chaussures super méga confort.
Je pourrais tester le produit Nivea qui fait gel douche/shampoing/ mousse a raser (et je serais toujours victime du marketing des grandes marques)
Je mettrais des coups de boule aux gens qui me gavent.
On m'appellerait Monsieur. Et pas Madame au lieu de Mademoiselle, bordel!!!

MAIS...

Je ne pourrais plus mettre de robe les jours ou j'ai envie de recevoir des compliments.
Ni cacher ma tête de déterré lendemain de fête sous du maquillage.
Ni faire de grands sourires pour obtenir ce que je veux.
Mon ventre mou ne serait plus mignon.
Je ne pourrais plus clamer aimer Gossip Girl et Twilight.
Je ne pourrais plus lire Instyle, Vogue, Elle, Cosmo, Glamour, et acheter mes fringues en conséquences.
Ni parler deux heures à une amie sur le sujet "Il s'est gratté le menton  en me disant bonjour, à ton avis ça veut dire quoi."
Je m'appellerais Mario, et je ne veux pas être un plombier en salopette.
Je devrais faire passer les filles devant, leurs laisser la meilleure chaise, leurs donner le dernier carré de chocolat.
J'aurais des pieds super moches, avec des poils dessus, beurk.
Je n'aurais plus de verres gratuits quand je sors.
Je devrais faire passer les désirs de la femme avant les miens, pour ne pas être goujat.
Je ne pourrais plus déverser des tonnes de paroles, me limiterais a Oui/Non/Tu as raison/Moi aussi.
Je perdrais mes expressions faciales, et le froncement de sourcils exprimerais la colère, l'inquiétude, la perplexité, le mal au ventre et la déception que le PSG soit battu 2 à 0 par Valenciennes.

Et comme je ne fait pas du tout dans le cliché, je préfère être une fille!


10 août 2009

J'adore parler musique, même si j'y connais que dalle

La semaine dernière j'ai effrayé quelqu'un en disant que c'était la première fois que j'entendais cette chanson, au sujet de la dernière des black eyed peas. D'ailleurs ça m'a tellement marqué que j'ai oublié le titre. (Et puis je déteste la tête de Fergie, même si ça n'a rien a voir, ça aide pas.)
Non, je ne suis pas un extraterrestre, mais je n'écoute jamais NRJ/Skyrock/Fun radio ou radios associées. Et quand je veux danser, je me Lady Gagarise et Calvin Harrissise, c'est bien suffisant.

Un jour ma chère soeur a réglé l'onde sur oui FM. Du coup j'écoute du rock branchouillard, et j'en suis fière comme un pou. On s'en fout, ok.
Donc, j'ai eu l'occasion de me réveiller tous les matins par Pony Pony Run Run, un groupe dont on m'avait parlé il y a quelques temps, et que j'avais oublié, mémoire poisson rouge oblige. Et au fil du temps, je me suis mise a adorer cette chanson:

Limite copie de Phoenix, mais c'est sympathique, non?

14 juillet 2009

Le sens caché des paroles de chansons

Je m'inspire largement, non, je fais un vilain et immonde plagiat, d'une rubrique d'un blog (l'incontournable Bonpourtonpoil pour tout geek qui se respecte), qui dissèque les paroles d'une chanson, pour en sortir le sens caché. Ou pas, car généralement, les paroles de chansons sont à prendre au premier degré. Comme j'ai toujours adoré décortiquer des textes, vais me faire joyeusement plaisir sur une monstruosité des années 80, "J'ai encore rêvé d'elle".  Tant qu'à faire, autant taper dans le populos. J'ai le pressentiment que m'attaquer à un texte sérieux/ branchouille serait tout de suite moins propice au gloussement. Je m'égare, encore, et toujours!

J'ai encore rêvé d'elle
C'est bête, elle n'a rien fait pour ça

Jean Pierre rêve de Micheline, sa secrétaire, qui ne fait pourtant rien pour l'allumer.Grand seigneur, il le reconnait, c'est déja ça, JP n'est pas érotomane.

Elle n'est pas vraiment belle
Ça, c'est vache. Micheline a le droit d'être un boudin, mais de là à le dire clairement en chanson, tu grilles tes cartes!
C'est mieux, elle est faite pour moi
Pourquoi, toi aussi tu as un physique disgracieux?
Toute en douceur
Juste pour mon cœur

Si tu veux une compagne douce, prend plutôt un furet!!! (F. Foresti)

Je l'ai rêvée si fort
Que les draps s'en souviennent

a/ soit j'ai l'esprit très mal tourné
b/soit JP fait  des sous entendus vraiment dégueulasses.
Je dormais dans son corps
Bercé par ses "Je t'aime".

La suite du sous entendu? JP ferait il une paraphrase de "Je t'aime moi non plus"?¿?

Si je pouvais me réveiller à ses côtés
Dans ce cas là, tu lui offrirais ta fétide haleine matinale. Mais si le furet est lui aussi à côté, son odeur peut faire diversion.
Si je savais où la trouver
Pas dans ton pieu en tout cas.
Donnez-moi l'espoir
Personne ne t'assure que tu vas pécho, mais si elle est moche aussi ça devrait le faire.
Prêtez-moi un soir
Oui, emmène la diner!
Une nuit, juste, pour elle et moi

Ne va pas trop vite en besogne, si ça se trouve a 22h elle sera déja barrée!!
Et demain matin, elle s'en ira

Tu voulais juste un coup d'un soir donc? Bah c'est beaucoup de blabla pour rien, JP.....

10 juillet 2009

Very bad trip

8a49c6a6d0ad3c8323a3caad05fd664820090624113459Il n'est plus utile de préciser que je me borne à parler sur ce blog de choses idiotes; c'est ce que je maîtrise sans faille.
A croire que poursuivre des études sérieuses conduit à apprecier la détente par la débilité grand public.

J'ai donc été voir Very bad trip, la comédie dont tout le monde parle en ce moment. Ne suivant que mon instinct de mouton souhaitant se faire une opinion, j'ai exploré les critiques allociné, puis traîné une pauvre âme à la séance la plus proche. En passant, faut pas être suicidaire, ne jamais aller voir une comédie américaine sans faire quelques recherches avant, ou boire beaucoup. Sont visé Scary movie, American Pie et autres monstruosités nécessitant un état second du spectateur pour déclencher l'ombre du début d'un rictus.

Revenons donc à nos moutons, je craignais quelquechose de bien lourd vu le scénario: 4 mecs qui partent pour un enterrement de vie de garçon, et se réveillent le lendemain sans souvenirs et cherchant à reconstituer leur parcours de la veille.
Et bien ce film est tordant, on rit sans pause. J'en avais même mal au ventre en sortant.
C'est vulgaire, facile, très, mais alors, très con, mais surtout bourré de surprise. Enfin un film dans lequel on ne peut imaginer la suite des évènements! Et surtout, aucun discours moralisateur à 2 euros. Du débile pour du débile.
La bande son est terrible, et donne envie de se lever pour danser.
Je suis fan, ce film deviendra un classique (des soirées bières).

Publicité
Publicité
27 juin 2009

Lendemain de départ

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.

Transition parfaite entre le billet précédent; un autre Spleen de Baudelaire débute sur cette phrase qui me semble appropriée pour décrire l'instant présent.

Mon Erasmus est fini, depuis hier. Et je songe à toutes ces choses arrivées depuis septembre 2008. Si le temps semble avoir passé si vite , les souvenirs s'entassent comme si des années de nos vies avaient été passées là bas.

Et c'est maintenant que je vais, progressivement, raconter ces anecdotes, avec un peu plus de recul. De nostalgie aussi, certainement.
Que deviendront Milagros, Augusto, le lettonien aux affreuses chaussures, Nacho, papi tortilla?  Que retiendrons nous de tout ça?

Une bonne expérience. Une autre vie, toute temporaire. Où l'on fait des choses que l'on ne fera pas ailleurs. Le caractère temporaire de l'aventure, qui nous fait profiter de l'instant présent, sans se poser de questions.

Je pensais être triste, déprimée au point final de cette année si différente des autres. Mais non...tout ces souvenirs me font sourire. Et je constate comme j'ai pu changer en si peu de temps.
Me voilà de retour à Paris, différente. Une expédition pareille, ça vous change un homme.

Pour le coté exotique de la chose, une chanson du grenier, 10 ans d'age, qui me rappelle l'espagne, ma jeunesse, et me fait garder ce sourire... (chanson qui sert de bande sonore à une pub de jambon d'ailleurs....m'en fous je l'aime!)

2 juin 2009

Un mois déjà, ce blog a été abandonné, je vois

Un mois déjà, ce blog a été abandonné, je vois les herbes hautes envahir mon jardin d'idées. (je m'auto- félicite de ma petite métaphore filée).
Nous voilà donc en juin, dernières semaines et derniers jours de l'erasmus,  fort triste constat. Soyons prétentieux, soyons poètes:
Hier, perchée sur un balcon, à la tombée de la nuit, de mes lointains souvenirs m'est revenu en tête un texte qui m'avait frappée, par le désespoir qui s'en dégageait. Non pas que je sois désespérée, au contraire, mais qui semble relativiser ma légère tristesse à l'idée que cette année prenne fin.
Donc, voilà, Spleen de Beau de l'air. (c'est la première et dernière fois que je balance un poème, parce que je trouve ça chiant au possible, mais celui là c'est permis!!)

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
II nous verse un jour noir plus triste que les nuits;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Je l'ai lu pour la première fois en cours, au lycée, alors que ma prof du moment détaillait pourquoi "la Charogne" pouvait s'interpréter comme un amour cosmique entre la bête en décomposition et l'univers. (Je cite tel quel, je n'ai absolument rien modifié).

Je pensais jusque là que les mots ne pouvaient jamais décrire totalement la complexité d'un sentiment. Mais ce Spleen, là...c'est le mal être, le désespoir, si bien décrit, il ne manque rien. Bizarrement, je ne trouve même pas que ce poème soit déprimant. Peut être parce  qu'il décrit un extrême qui m'est inconnu. M'enfin, je trouve ça très beau quand même.

10 mai 2009

Plus qu'un mois à Madrid. J'aimerai passer un

Plus qu'un mois à Madrid.

J'aimerai passer un deal avec le mec qui s'occupe de l'horloge terrestre, modifier le taux de change temps qui passe/ seconde pour accroitre la valeur de mon capital temps investi dans la capitale espagnole.
La métaphore est digne d'un embryon de dirigeant capitaliste que je suis, mon pauvre cerveau sature de connaissance face aux examens qui approchent. Mais rien est encore joué, je peux encore finir toiletteuse pour chien. Avec tout le respect que j'ai pour les toiletteurs évidemment.

De quoi vais je parler? de tout, de rien, comme toujours.
Scrubs mon addiction a cette semaine présenté son dernier épisode, je me sens orpheline. Si vous n'avez jamais vu la série, foncez tête baissée. Sauf si vous êtes étudiant et que vous approchez des exams parce que je garantie votre perte accro que vous allez devenir. Et puis après tout je m'en fous, vous êtes grands majeurs et vaccinés.

Ah oui, je voulais revenir sur un événement passé. Sarkozy, "le chef de nous" comme dit si bien Jamel, a ramené ses présidentielles miches en Espagne, accompagné de sa mumureuse épouse. Et dans tout les journaux, le lendemain, la même photo: non pas les deux présidents se serrant la main sur un perron, mais Letizia et Carla, de dos. A croire que tout ce qui intéresse se rapporte à qui aura la meilleure cambrure. (ex æquo oserais-je)

En parlant de royauté, je tiens à faire savoir que j'ai une haine PROFONDE pour la reine Elisabeth II. Why? dites vous de votre accent parfait (why c'est pas dur à dire non?). Parce que cette vieille bique (faut ce qu'il faut) s'est écartée, outrée, quand Michelle Obama lui a touché le bras. Le protocole et blablabla.... J''aimerai savoir comment fait on pour inculquer aux gosses des valeurs d'égalité si on leur montre comme autorité suprême une vieille mégère qui se sent offensée pour un geste aussi humain. Un tel sentiment de supériorité, ça me dépasse....

Je prend l'avion dans 4 jours, verrai je des michael jackson en herbe, armés de leur masque?  Ça ne doit pas être facile d'être Mexicain, ces jours ci...Même en étant expatrié depuis 30 ans. 

God saved the queen, the fascist regime, disaient ces bon vieux Sex Pistols...

8 avril 2009

comme l'europe, je suis un vrai bordel...

Avril est déjà là, plus que deux mois d'erasmus...que le temps passe vite!! Rien ne laisse sentir le départ, et pourtant, je sens déjà tout ce qui me manquera de Madrid.
On ne peut imaginer a quelle point l'expérience Erasmus peut être forte sans l'avoir vécu.
L'auberge espagnole, dans la réalité, existe. Je le vois de mes yeux, cet appartement au frigo débordant, multinational, avec ses embrouilles et ses amitiés, sa vaisselle abandonnée par le bordélique de service....(private joke: tu trouves pas que votre appart est vraiment un copié collé du film?)
Et je pense à cette célèbre phrase prononcée par Romain Duris dans le film:

"Quand on arrive dans une ville, on voit des rues en perspective, des suites de bâtiments vides de sens, tout est inconnu, vierge .Voilà, plus tard on aura habité cette ville, on aura marché dans ces rues, on aura été au bout des perspectives, on aura connu ces bâtiments, on aura vécu des histoires avec des gens quand on aura vécu dans cette ville. Cette rue, on l’aura prise dix, vingt, mille fois. Au bout d’un moment, tout ça vous appartient parce qu’on y a vécu."

C'est exactement ça. Cette rue immense de Madrid, inconnue, presque effrayante, est devenue mon chez moi. J'y passe tout les jours, j'ai des souvenirs chaque mètre. Souvenirs frais.
Je me demande si ce qui nous fait profiter et aimer autant notre ville d'accueil n'est pas influencé par l'idée que l'on devra bientôt abandonner cet endroit. Que le temps est compté. L'idée que rien ne se répètera, que chaque chose que nous faisons ne ressemblera à rien d'autre.
Je pensais connaître l'Espagne pour y avoir vécu dix ans. Mais j'ai découvert bien plus en quelques mois, immergée totalement dans la culture espagnole. J'adore Madrid. J'y reviendrai, j'y vivrai. Un jour...

Tout sera différent, sans ces habitudes d'étudiant-touriste. Pourtant mon attachement à cette ville dépasse les petites habitudes prises chaque jour. Les après-midi à déambuler dans les rues bondées et inondées de soleil, les soirées plus folles les unes que les autres, les sudokus faits en cours (quand cours il y a), les talk shows sur les peoples avec des présentatrices surmaquillées, la pause de 10h comme excuse pour se goinfrer, et aussi les visites hebdomadaires au service des relations internationales, doté de deux aimables créatures bien plus intéressées par les soirées remplies de grand suédois que de votre inscription (j'ai attendu le mois de décembre pour que la mienne soit effectuée, après 20 visites au bureau concerné).... qui m'a immédiatement fait penser à cette scène je que je dédie a tous les étudiants erasmus qui se reconnaitrons tous dans l'horreur de l'avant.



12 mars 2009

Parenthèse musicale

Après Twilight, Gossip Girl et mes niaiseries habituelles, je vais compléter ma panoplie de blonde décérébrée  en vous parlant de Benjamin Siksou. Kiçéça??
Candidat nouvelle star, 2008.

Il n'y a qu'une seule saison qui m'a intéressé, la 2007, car les performances délirantes de Julien Doré méritait que l'on ingurgite trois milles chants de connards auparavant.
Mais chaque année j'aime bien voir les castings, on se sent d'un coup d'une intelligence rare en se comparant a quelques personnages. Et puis un candidat marque, et pour moi comme beaucoup, ça a été celui ci:

En oubliant la monstrueuse tête de Lio qui semble pour le coup aussi intelligente qu'un babouin mal gratté,il faut reconnaitre que c'est pas mal, non?
malheureusement  j'ai détesté tout ce qu'il a chanté dans l'émission, c'était horriblement chiant.
Je me contentais donc d'écouter sa version de "Just the two of us".
Et cette semaine, MIRACLE!! ai-je envie de vous dire. Il est revenu en chantant comme dans ce casting. Loin derrière les miaulements de la Nouvelle Star. Je jubile, j'adore....


Benjamin Siksou "My Eternity"
envoyé par madmoiZelle.tv

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 > >>
Pensées de blonde
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité