ce n'est qu'un au revoir mes frères
Le vif du sujet commence demain.
Bah oui, malgrès mes 3000 articles pour jeter des pierres sur Christophe Maé, et m'étendre sur ma passion envers Brassens, le sujet du blog est quand même l'erasmus à Madrid.
Je pars demain. Je triche, je suis déja en espagne, donc je m'epargne les fatiguants couloirs de Roissy Charles de Gaulle, terminal 1, satellite 7. (sisisi c'est ça je l'ai fait assez souvent).
Deux ans que je visualise ça comme la future meilleure année de ma vie. Nous sommes donc la veille de mes projets pharaoniques, et là, mes biens chers frères, mes bien chères soeur, reprenez avec moi tous en coeur: pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir (gloire a Eddy Mitchel), et bien, je flippe. Un stress bizare, pas mauvais comme un stress pré-opératoire, mais un stress. Du genre la chanson que j'ai écouté 30 fois aujourd'hui, c'est ça. Un truc à vous donner envie de sacrifier des poulets dans un cimetière. (my god je suis drôlement morbide!)
Donc, comme une mégère défraîchie et anxieuse à cause de ses mesquineries de bureau, je me suis verni les orteils et j'ai cuisiné des muffins. Vous vous en battez la race et vous avez raison.
D'ici deux semaines, le temps pour moi de faire un coma ethylique déconner dans une soirée erasmus, de me perdre dans le metro, de retrouver une connexion internet, et je ne sais pas quoi d'autre, je reviendrai decortiquer la vie étudiante madrilène à grand renfort de blagues déplacées, comme toujours.
D'ici là, Que la vida os vaya bien!
Remarque importante: voilà le train dans lequel je vais voyager. L'espagne est un pays sous-développé. Mais non je déconne!!! si la SNCF pouvait s'inspirer des trains espagnols, ça serait vraiment la classe, parce que mes cocos, en France on est un peu à la ramasse de ce côté là.